Disque / record "Étoilé - Trio - Azur", Editions NEOS

Musiciens de l'Orchestre Symphonique de la Radio de Sarrebruck (D) ; Irène Assayag, claveciniste et Dominique Merlet, pianiste.

« Trois œuvres, trois univers, trois périples : proches dimension, leur densité, la sinuosité de leur parcours, leur conjointe aspiration à l’action, à la contemplation ; enracinés dans le besoin d’espace, de durée, dans l’appel d’un voyage au long cours, d’une quête, d’une conquête.

L’écoute pourrait ainsi les associer en un vaste triptyque. Cependant, la nature idiomatique de chaque dispositif instrumental et la spécificité des principes de composition mis en œuvre soulignent la singularité des trois démarches.

Toutes trois, de même que Le matin sûrement va venir (Ondes Martenot, piano, percussions), Souffle (14 instrumentistes), Aube (orgue et orchestre de chambre) notamment, appartiennent à un corpus de compositions amples, sans mouvements séparés, d’un seul grand vol aux multiples méandres. »

Jean-Pierre Leguay

« Three works, three worlds, three journeys. Each is related in scale, density, in the tortuous nature of the journey it undertakes, and in its joint desire for action and contemplation; each is rooted in its need for space and time, and in its desire to take on a substantial journey, a quest, a conquest.

Listening to them, one might well consider these works as a large-scale trilogy. However, the idiomatic nature of each instrumental setting, and the specific principles, which are followed in each composition, emphasise the three different approaches.

All three pieces, along with Le matin sûrement va venir (Ondes Martenot, piano and percussion), Souffle (14 instrumentalists), Aube (organ and chamber orchestra) belong to a group of large scale compositions, which are written without separate movements yet each with a unified trajectory which undergoes multiple twists and turns. »

Jean-Pierre Leguay

« Drei Werke, drei Welten, drei Reisen: Sie gleichen sich in ihrer Dimension, ihrer Dichte, ihren verschlungenen Wegen und dem allen dreien gemeinsamen Drang zu Taten und Kontemplation. Sie wurzeln in ihrem Bedürfnis nach Raum, nach Dauer, im Aufruf zu einer weiten Reise, einer Suche, einer Eroberung.

Beim Hören könnte man sie sich also als ein großes Triptychon vorstellen. Jedoch unter-streichen die idiomatischen Besetzungen und spezifischen Kompositionsprinzipien zugleich die Unverwechselbarkeit jeder der drei Herangehensweisen.

Alle drei Werke gehören – genau wie Le matin sûrement va venir (Ondes Martenot, Klavier und Percussion), Souffle (14 Instrumentalisten), Aube (Orgel und Kammerorchester) – zu einem Korpus großformatiger Kompositionen, ohne Einzelsätze, dafür in einem einzigen großen Flug mit vielfältigen Windungen komponiert. »

Jean-Pierre Leguay